Alors que sort sur les écrans sa 50e et dernière réalisation, Woody Allen nous aura accompagné avec son humour juif new-yorkais ce dernier demi-siècle avec près d’un film par an. Il a su instaurer avec les spectateurs un lien intime, comme on retrouve un membre de sa famille pour les grandes fêtes

Valentine, 34 ans, graphiste free-lance, élève seule son petit Milo, onze ans, muet depuis toujours, alors qu’il entend parfaitement. Un jour, devant une publicité télévisée pour la Grèce, l’enfant se met, pour la première fois de son existence, à parler, et dans une langue inconnue, pour tout oublier l’instant d’après et retrouver son mutisme. Qu’arrive t-il à son fils ? Et pourquoi Salonique, cette ville dont elle ne sait rien, qui lui est en tout point étrangère ? Commence alors pour Valentine une quête des origines qui bouleversera leur vie.

Déporté à Buchenwald en janvier 1944, Max – Mordehaï – Goldmann a consigné dans un récit intitulé ironiquement « Pupille de la Gestapo », ses 17 mois de détention dans les camps de concentration du IIIème Reich. Son témoignage, unique à bien des égards, impressionne par les qualités humaines qu’il a su préserver au cœur de l’enfer.

Dans son dernier opus, l’auteur revisite son adolescence de jeune juif sépharade, aspirant- écrivain au cours d’une journée particulière. Ses errances dans le Paris d’avant mai 68, ses rencontres décisives avec des personnages hors du commun vont lui révéler le chemin de l’écriture.

Etoile filante de la soul music, petite Amy Winehouse a l’immense talent, cachait en elle des démons qu’un certain Moussa Nabati aurait peut être pu exorciser.

Un récit ni tout à fait fable, ni tout à fait réalité, qui témoigne d’un amour éternel pour Jérusalem…