Le wokisme divise. Pour les uns, il incarne la justice, l’égalité et la reconnaissance des invisibles. Pour les autres, il représente une nouvelle forme d’intolérance, de censure et même de tyrannie morale. Des campus américains aux plateaux TV français ou israéliens, la fracture est brutale, idéologique, parfois violente. Mais que dit la tradition juive face à ce débat ? Peut-elle offrir un éclairage original ? Et si, à travers les récits de la Genèse, les Sages du Talmud avaient déjà pressenti ces tensions modernes entre aspiration à la justice et dérive dogmatique ?
« Plus jamais ça ! » – et dire qu’on a bien failli le croire ! À la vérité, peut-être qu’eux aussi ont failli le croire, tous ceux qui se sentaient mal dans leurs baskets de complices silencieux. Mais la haine du Juif a la vie longue, aussi longue que celle du peuple d’Israël. Et elle n’a jamais eu besoin de raisons valables. Ni de raisons tout court. Ni d’une quelconque logique.
L’affaire Yossele Schumacher a marqué l’histoire israélienne des années 1960. Ce drame, qui a opposé l’État israélien à une frange de la communauté ultra-orthodoxe, a matérialisé des tensions profondes sur l’identité du pays et la séparation entre le religieux et le politique à l’intérieur de l’État.
Ce jour est veille de Pessa’h, selon le calendrier samaritain. À Chekhem/Naplouse, ils sont plusieurs centaines à gravir lentement, sur un chemin escarpé, les pentes du Mont Guerizim. De nombreux touristes les accompagnent chaque année, avides de sensations fortes.
Les Juifs mentent, c’est bien connu. Menteurs invétérés et manipulateurs, tout le monde le sait. Habiles en affabulations de toute sorte, pour mieux tromper, embobiner et exploiter les esprits naïfs qui ont affaire à eux, c’est un fait bien avéré.
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