De nombreuses chansons israéliennes parlent de l’amour maternel. Quand leurs enfants partent à la guerre, les mères d’Israël vivent alors ces années-là en prières, et en pensées.

La trentaine, il a toujours été en quête de reconnaissance, mais c’est impossible : Alon est un héros de l’ombre. Celui que l’on ne remercie jamais, que l’on n’adule jamais. Vous ne verrez jamais la photo d’Alon en manchette d’un journal, ou bien dans un reportage des chaînes généralistes israélienne. Alon joue dans la cour des grands, on le préserve. Il est souvent dans les aéroports, à l’abri des radars, en quête de la prochaine mission.

Après un premier article sur les applications qui nous aident à pratiquer notre judaïsme, plongée dans l’univers des sites internet.

Sarah n’avait qu’un seul rêve, celui de partir vivre en Israël, mais tout l’en empêchait…un podcast d’Emmanuelle Adda

Partie 2 de la série Khazar, et retour sur l’imposture historique, qui identifie les Khazars comme étant de lointains ancêtres des juifs ashkénazes européens, et venant ainsi alimenter toutes sortes de théories complotistes et antisémites en tous genres.

Les paroles de cette célèbre chanson résonnent aujourd’hui encore plus fort pour les israéliens mais aussi pour les juifs du monde entier. A l’heure où nos soldats se battent sur plusieurs fronts pour protéger la survie du jeune état d’Israel, il est important de se rappeler et de crier au monde que même à travers notre douleur, et l’attente de la libération de nos otages, notre pays est notre maison et nous n’en avons pas d’autres.

Dans une période troublée comme la nôtre, où les affres de la guerre troublent la quiétude de tout un chacun, il apparaît comme naturel de chercher des remèdes et des solutions miracles à nos divers problèmes et à nos inquiétudes diverses. Dans ce texte que vous allez découvrir, nous nous penchons sur le thème si populaire des Ségoulot. Bon voyage…

On peut trouver des références aux Khazars adoptant le judaïsme comme religion dans certaines sources arabes, chrétiennes et juives. Cependant, le récit le plus célèbre se trouve dans les lettres connues sous le nom de Correspondance Khazar, échangées entre le rabbin Hasdai ibn Shaprut (vers 915-975) et Joseph, roi des Khazars.

Le Mur des Lamentations ou Kotel, site le plus sacré du peuple juif, symbole de sa résurrection dans son pays, et son lieu de rencontre avec son Créateur.